Un Politique a déclaré dans un débat que les électeurs ont mis en place démocratiquement les dirigeants
Oui mais est ce que cela est une garantie pour la devise républicaine?
J'ai trouvé quelques élus qui me foutent la trouille
Charles Louis Napoléon Bonaparte futur Napoléon III
Réélu en septembre dans cinq départements, il se présente à la présidence de la République le 10 décembre. Les monarchistes du parti de l’Ordre, qui n’ont personne à présenter, se rallient à Louis-Napoléon, faute de pouvoir obtenir des garanties du candidat des républicains modérés, Cavaignac, que la répression des journées de juin a d’ailleurs rendu impopulaire. Louis-Napoléon, seul candidat dont le nom soit connu des ruraux, est élu par 5 434 000 voix contre 1 448 000 à Cavaignac et 370 000 à Ledru-Rollin.
Ce triomphe est pourtant assombri par la promulgation de la Constitution de la IIe République limitant son mandat à quatre ans. Habile politicien il va réduire à néant l’opposition républicaine, laisser les conservateurs se discréditer eux-même.
Ne pouvant faire modifier la Constitution, il décide de faire un coup d’Etat
Le travail de rédaction de la Constitution est confié officiellement à deux commissions législatives formées de députés des Cinq-Cents et des Anciens. Mais en fait, c’est Sieyès qui va proposer un projet. À l’examen, le projet s’avérera trop complexe, voire irréaliste. En effet, il prévoit l’instauration d’un régime démocratique fondé sur un pouvoir législatif fort représenté par trois chambres. L’exécutif sera, quant à lui, réduit à une magistrature à vie purement honorifique et à deux consuls aux fonctions limitées.
Bonaparte profite des faiblesses de ce plan pour imposer son propre projet et se débarrasser de son encombrant rival. Du 4 au 13 décembre 1799, il réunit ainsi les deux commissions dans son bureau pour élaborer le texte de la nouvelle constitution.
La Constitution de l’an VIII est adoptée en comité restreint le 13 décembre 1799. Elle s’inspire en partie du projet de Sieyès, mais intègre les idées politiques de Napoléon Bonaparte, notamment concernant le pouvoir exécutif. Sieyès, lui-même, sera chargé de désigner les trois consuls de la république : Bonaparte comme premier consul, puis Jean-Jacques-Régis de Cambacérès et Charles-François Lebrun, comme 2e et 3e consuls de la République. Sieyès, quant à lui, sera relégué au poste de président du Sénat.
Il dirige la France à partir de la fin de l’année 1799 ; il est d'abord Premier Consul du 10 novembre 1799 au 18 mai 1804 puis Empereur des Français, sous le nom de Napoléon Ier
Fondateur du Fascisme, il est Premier ministre du Royaume d'Italie, avec des pouvoirs dictatoriaux, du 31 octobre 1922 au 25 juillet 1943, premier maréchal d'Empire du 30 mars 1938 au 25 juillet 1943, et président de la République sociale italienne (RSI) de septembre 1943 à avril 1945. Il est couramment désigné du titre de Duce, mot dérivé du latin Dux et signifiant « Chef » ou « Guide ».
Il est d'abord membre du Parti socialiste italien (PSI) et directeur du quotidien socialiste Avanti! à partir de 1912. Anti-interventionniste convaincu lors des années qui précèdent la Première Guerre mondiale, en 1914, il change d'opinion, se déclarant favorable à l'entrée en guerre de l'Italie. Expulsé du PSI en novembre 1914, il crée son propre journal, Il Popolo d'Italia (Le peuple d'Italie) qui prend des positions nationalistes proches de celles de la petite bourgeoisie. Dans l'immédiat après-guerre, profitant du mécontentement de la « victoire mutilée », il crée le Parti national fasciste (PNF) en 1921 et se présente au pays avec un programme politique nationaliste, autoritaire, antisocialiste et antisyndical, ce qui lui vaut l'appui de la petite bourgeoisie et d'une partie des classes moyennes industrielles et agraires.
Dans le contexte de forte instabilité politique et sociale qui suit la Grande Guerre, il vise la prise du pouvoir, en forçant la main aux institutions avec l'aide des actions de squadristi et l'intimidation
Les élections de novembre 1945 [modifier]
Le 28 septembre 1944, Tito avait signé un accord avec l'Union soviétique permettant l'"entrée temporaire de troupes soviétiques sur le territoire yougoslave"[2].
La présence de l'Armée Rouge lui permet de s'imposer face aux Monarchistes et les élections du 11 novembre 1945 se déroulent alors que le Parti Communiste Yougoslave, PCY domine déjà tous les rouages de la vie publique et peut effectuer toutes les pressions nécessaires. Le représentant des démocrates, Milan Grol quitte alors le Front National et son journal est interdit. Un système d'urnes truquées permet de connaître les électeurs non membres du front National qui sont emprisonnés peu après[3]. Le Front National alors composé du seul PCY, obtient 91% des voix.
La nouvelle assemblée constituante nomme Tito Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, ce qui lui permet de diriger les politiques interne et extérieure du pays et Tito crée la police politique secrète l'UDBA (Uprava državne bezbednosti/sigurnosti/varnosti, Administration pour la Sécurité de l'État) dont le rôle officiel est de traquer les collaborateurs des Nazis. Sous le faux prétexte de collaboration[4], Tito fait fusiller [5] son rival, Draza Mihailovic, résistant monarchiste dont le prestige était grand, notamment auprès des habitants serbes de la Yougoslavie[6].
Le roi Pierre II est déposé le 29 novembre 1945 et Tito peut fonder la République fédérative populaire de Yougoslavie qui est proclamée le même jour.
L'établissement de la dictature [modifier]
En 1946, une nouvelle constitution, copie de celle de l'URSS de 1936, consacre le fédéralisme de la Yougoslavie et le pouvoir de Tito. En effet, les deux chambres législatives réunies nomment leur Président qui deviendra le Chef de l’État. "Le gouvernement fédéral est investi du véritable pouvoir
Adolf Hitler, en 1937.
Porté à la tête de l’Allemagne par le Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP) qu’il reprit en 1921, il devient chancelier du Reich le 30 janvier 1933, puis se fait plébisciter en 1934 comme président, titre qu’il délaissa pour celui de Führer (« guide »). Sa politique expansionniste fut à l'origine du volet européen de la Seconde Guerre mondiale, pendant lequel il fit perpétrer de très nombreux crimes contre l’humanité, dont la Shoah reste le plus marquant. L’ampleur sans précédent
et il y en a beaucoup d'autre......
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