Phobie : c’est une cage.
D’abord avec des barreaux assez larges pour permettre de s’en échapper
Cette cage, ce refuge a des barreaux d’angoisse
Le temps qui passe resserre l’espace des barreaux
Ce refuge devient prison
L’espace s’y rétrécit
Vers la conscience de sa folie
La seule porte de sortie est cette trappe qui s’ouvre sur rien
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