Pour monter une sculpture en cire :

Je prends un tube en cuivre dont le diamètre intérieur est un poil plus grand que la barre de "rond"

Je chauffe un bout pour détremper le cuivre

Ensuite je plie un bout en le martelant puis je le replie sur lui même.

La cire est dans l'eau a 45° (voir le bricolage de la marmite à cire sur le site)

Après avoir mis en place du tube je le chauffe un poil, et le recouvre de cire amollie

Une fois terminé je rallonge le paquet de cire a peu prés de la taille du projet et le laisse durcir sur le sol

Pour faire une assise bien plate à une cire

Je chauffe au chalumeau une plaque de lave

Lave de Volvic bien sur

Et je frotte la cire dessus

Cela évite du travail au ciseleur

vite je fais les carapaces

la cire n'aime pas les canicules

J'utilise les dérives, les manques de la technique depuis quelques temps.

Mais il faut que la nouvelle l'histoire se crée et me parle

Dans le cas des manques de ce bronze je ne ressens pas une nouvelle histoire en conservant ses trous.

L'exploitation des anecdotes techniques est aussi contraignante que l'académisme.

Pour la citrouille je refais les mains, les bras et accepte l'accident de coulée ce trou dans le cucurbitacée (j'aime ce mot)

Ce manque, dur à digérér, tombe bien et dans ce cas cela apporte quelque chose

Mais je suis un terreux qui d'hésitation en recherche défini ce qui est enfui en lui, découverte dont le définitif est dans le laisser

Les pierreux taillent, le morceau tombe et ils lisent l'histoire dans la pierre (pour les bons) c'est une psychologie que j'envie

j'ai du mal avec la cire, elle est môôôôôlle, il fait trop chaud

ça partait bien et pendant la pause

tout est tombé

j'ai tout récupéré mais pourquoi ce chapeau?

trois jours de grandes chaleurs ont eu raison de ce champignon