Pour la première couche de barbotine

Je mélange

De la pâte à papier (emballage des œufs par ex.)

silice colloïdale une mesure

eau une mesure

chamotte pulvérulente 2 mesures

bentonite 1/5 de mesure

un peu d’anti-mousse

bien touiller ;je l’utilise 24 heures + tard

Passage d’agent mouillant pour une bonne adhérence de la barbotine ( du produit vaisselle dans de l’eau)

Premier passage au pistolet

Séchage

Deuxième couche au pistolet

Séchage jusqu'à demain

Je vais essayer une alimentation par le centre de la pièce

1 pour cela je vais embrocher  la pièce avec une barre enduite de cire, la cire va créer un espace entre le métal et le futur noyau

2 la tige est introduite et dépasse en haut de la pièce

3 mise en place du réseau complémentaire d’alimentation.

    Ne pas perdre de vue que les boudins de cire en fondant deviendront des tubes

4 ce petit bricolage me permet de manier et positionner tout le long du recouvrement de la carapace

5 je positionne le plateau ( disque d’aluminium) le protége avec de la cire, et, mise en place de l’ensemble

6  mise en place du départ des évents et des « chiottes » devant recevoir   les déchets de la coulée, et l’entonnoir de coulée

La barbotine de contact est beaucoup trop dure

Donc la silice colloïdale passe de 70% à 50 %

 Je rajoute dans ce mélange de la pâte a papier

La sculpture est travaillée en cire pleine

J’ai démarré le montage de la carapace

il est important de comprendre que ce qui fond (cire) et qui brûle, une fois entouré de refractaire, deviendra creux en disparaissant. C’est dans le négatif en 3 d de l’objet que je coulerai le métal

des cloues empêcheront le noyau de bouger j’utilise des ressors  ( fils) d’inox

cette photo montre un fil d’inox planté

les évents qui permettrons après cuisson d’évacuer l’air,  les cure- dents disparaîtront à la cuisson ils sont plus précis et plus solides que les attaches en cire

première couche de barbotine de contacte

silice colloïdal pâte à papier et poudre de chamotte, elle est passée au pistolet